Avril 2019 : A Maillane, chez Frédéric Mistral

Journée accompagnée par Geneviève MONNIER et Françoise ROUDIL

Photos: Robert WALD

Frédéric Mistral (1830-1914)

Visite du Musée Mistral

 

Il est installé dans la 3ème maison du poète, celle qu’il fit construire lui-même au moment de son mariage. Il y vécut de 1876 à 1914.
Dans cette demeure, tout rappelle la vie du poète, ses œuvres, sa poésie, ses relations à l'art (portraits, peintures, sculptures.) Ce sont autant de témoignages d'amitié venus du monde entier, saluer et rendre hommage à celui qui fut le fondateur du Felibrige et qui reçut le Prix Nobel de Littérature en 1904.

 

Le Jardin de la maison

Le Musée est situé face à la Maison du Lézard, 2ème maison du poète où il vécut avec sa mère de 1855 à 1876. Elle abrite actuellement l’Office de Tourisme, la bibliothèque municipale et un centre d’études félibréennes.

 

Le lézard est en haut du cadran solaire.

 

Promenade dans Maillane

L'église 
Frédéric Mistral y a été baptisé et a même fait ses premiers pas sur l’autel de Saint-Joseph, tradition maillanaise.

 

Très importante aussi pour la petite ville, Notre-Dame de Grâce qui la  sauva du choléra en 1854.

 

En parcourant Maillane, on voit aussi la mairie où l’écrivain fut conseiller municipal, l’ancien hôpital, des oratoires.

 

Déjeuner au restaurant Lou Soulèu

où Mistral avait ses habitudes et venait jouer aux cartes régulièrement.

 

Visite du Cimetière et du tombeau du poète

C’est une réplique très fidèle du Pavillon de la Reine Jeanne des Baux-de-Provence  qu’il a fait construire lui-même. Sur le monument  sont mis à l’honneur Mireille, une Arlésienne et ses chiens.

 

Le Mas du Juge : maison natale du F. Mistral

Ancienne viguerie du Procureur du Prince de Monaco d'où il tient son nom, il est surtout connu pour être la maison natale du poète Frédéric Mistral. Il y vécut de 1830 à 1855.  C’est aussi là qu’il commença à écrire Mireio.

 

Au loin les Alpilles, le Mont Gaussier et le lion d’Arles.

 

« Depuis que Dieu me garde sur la terre des vivants,

 

il est un lion qui me regarde, les deux narines au vent.
Le chasseur qui est en quête n’assaille pas l’hippogriffe des rochers,

 

car c’est un lion de pierre accroupi sur le mont Gaussier. »

 

Retour à Nîmes et à Montpellier vers 17h...